L’été, la meilleure saison. Pas de cour, du soleil, des filles, des fêtes. La saison parfaite vous dis-je. Comme tous les matins de juillet je me suis assis dans le salon de jardin pour prendre un grand verre de jus d’orange et lire le journal. Je pouvais sentir le soleil réchauffer ma peau tandis que les minutes filaient. Une idée me traversa soudain la tête. Je me levai d’un bout pour aller chercher un petit bout de papier dans la cuisine. Quand je tombai nez à nez avec le papier en question mon visage s’illumina de joie. Mes parents ne seraient pas la de tout le week end, ils étaient partit dans notre chalet en floride pour passer du temps tout les deux. Une petite fête s’imposait d’elle-même pour le coup. Je me mis donc en tête de retrouver ce truc qui me sert de portable. Je ne comprendrais jamais les gens acro à ce truc, moi je le perds tout le temps et j’arrive quand même à être au courant de ce qu’il faut savoir. Quand une des cheerleader de lycée vient de casser avec son copain, je le sais dans l’heure suivante et je suis toujours près à aller les consoler, quand il y a une fête je croise toujours quelqu’un qui va me le dire. Ce qu’il y a de bien à bluebell c’est que les infos circulent très vite, très très vite même. Bon, les fausses rumeurs aussi circulent mais on fini par faire avec. Bref, j’avais fini dans ma chambre à quatre pattes avec un bras qui fouillait sous mon lit. « Mais qu’est ce que tu fous ? » Je tournais en vitesse ma tête vers l’endroit d’où provenait le son. Je savais très bien à qui appartenait cette voix mais je voulais vérifier. Le problème d’avoir deux frères qui sont jumeau c’est que j’ai tendance à les confondre. Avec le temps je m’y suis fais mais j’ai toujours quelques doutes. J’ai fini par développer la technique du mouton. Je ne les appelle pas par leur prénom mais je dis mouton au deux à cause de leurs cheveux. C’est beaucoup plus simple et la marge d’erreur est au plus bas. « Je tond la pelouse » Moi ironique ? A mes heures perdues peu être. J’étais retournée à ma recherche et mon frère s’était contenté de hausser les épaules. « Je suis de tout cœur avec toi dans cette tache frangin » Je souris vite fais avant de me relever et de partir chercher sur mon bureau. Mon bureau c’est le truc que je n’ai pas vu depuis dix ans tellement il y a d’affaire dessus. Arrivé devant une grande flemme me submergea et je ne trouvais d’autre moyen que de crier. « Hey mouton t’aurais pas vu mon phone par hasard ? » Je me retournais une nouvelle fois mais il n’était plus là. Il devait être dehors à prendre son petit déjeuner ou je ne sais quoi. A sa place ce trouvait ma sœur avec son regard coquin. Elle savait quelques chose ça se voyait dans ses yeux. Je m’approchais doucement d’elle. « Tu as quelques chose pour moi p’tit cœur ? » Son sourire grandi lentement. Ah qu’est ce que je ferais sans elle. Ma sœur c’est la personne que j’aime le plus au monde. Je suis d’ailleurs très protecteur, trop peu être… Si quelqu’un lui fais du mal il aura de mes nouvelles et ça fera mal. « Je vais aller chez mamie se soir » Sur ces mots elle me tendis mon téléphone. Je ne dis rien me contentant de lui faire un doux baiser sur la joue et hop elle tourna les talons pour se diriger doucement vers sa chambre. Elle venait de comprendre que je préparais un truc. […] J’avais juste dis à max, un pote de soirée, de faire passer le mot que je faisais une fête et à 10h ma maison était pleine. Je connaissais la plupart des gens vu que je connais un grande partie des gens du lycée mais certain était venu accompagner c’est comme ça que mes yeux se sont posé sur une jolie brune super sexy. Ma bouteille à la main je suis rester la regarder jusqu'à ce qu’elle arrête de danser. Je suis très nul en danse et je ne tenais pas vraiment à me ridiculiser à ma propre soirée. « Nouvelle ? » Elle était arrivé à mon niveau, sont regard se posa sur moi alors que de mon coté je regardais toujours la foule. « En vacance » Je tournai alors la tête vers elle avec se regard dont moi seul à le secret. Après quelques secondes à la regarder de la sorte je retournais mon regard vers la foule. Je sortit mon paquet de clope pour commencer à fumer et je fini par faire un signe de tête à la jolie brune dont je ne connaissais même pas le nom, pour lui dire de me suivre. Je l’emmenai jusqu'à ma cabane. Mon père en la faisant construire ne pouvait pas se douter que ça deviendrait mon endroit préféré pour emmener les filles plus tard. Et moi ce soir là je ne pouvais pas me douter que j’allais sortir avec Devyn tout l’été. Généralement je passe deux types d’été, soit je fais le gros keutard soit je me trouve une copine. J’avais choisis de me mettre avec Devyn pour deux raison, la première parce qu’elle est bonne et ça personne ne pourra dire le contraire, et la deuxième c’est qu’elle partait à la fin de l’été alors aucun complication après l’été. Finalement il se trouve qu’elle est devenu une de mes amies les plus proche et je sais que c’est une des personnes à qui je peu donner ma confiance.

Mon père a raison sur toute la ligne, je suis un moins que rien. Je ne mérite même pas tout ce que j’ai, je vais finir seul à quarante ans avec un bide a bière parfait pour pouvoir posé des pares de pizza déçu, j’aurais un boulot de merde et je ferais déprime sur déprime. A écouter mon père c’est comme ça que je vais finir et le pire c’est que je commence à le croire. Je n’ai pas pour habitude de croire mon père, son avis est même la dernière de mes occupations même si je suis encore mineur et que je dois me plier aux désirs de monsieur tan que je suis sous son toit. Il se défoule de plus en plus contre moi et pour cause, je fais tout pour. La provocation c’est mon truc. Je sors, je fume, je traîne en ville avec certaines «mauvaises fréquentations » (ce sont ses propres mots) je fais tout pour qu’on me remarque, pour qu’on parle de l’aîné Roberts dans tout Bluebell. Je ne fais pas ça pour faire mon intéressent ou essayer des trucs pour être cool ou populaire, j’ai pas besoin de ça pour ça, à vrai dire être populaire m’importe peu à présent, ce que je cherche avant tout c’est d’entacher la réputation de mon père. Il croit pouvoir contrôler ma vie et je passe mon temps à lui prouver le contraire. J’ai l’impression de jouer un rôle. Je m’amuse c’est certain mais je pousse les limites un peux trop loin parfois, la descente de flic pour une fête qui dégénère c’était peu être trop enfin c’est devenue trop quand j’ai fais genre de tomber pour laisser au flic le temps de m’arrêté. Ca fait maintenant beaucoup trop de temps que je supporte mon père, ses sautes d’humeur, ses coups, ses paroles plus dures que n’importe quelles paroles. Il à toujours voulu que je sois le fils parfait et intelligent, assez naïf pour suivre ses instructions à la lettre mais je ne suis pas ce genre de gars moi j’ai besoin d’espace, de liberté et surtout j’ai besoin de vivre ma vie par moi-même. Si j’ai envie de passer mon temps avec Charline ce n’est pas mon père qui va m’en empêcher sous prétexte que je dois me concentrer sur mes études. Le droit je n’aimerai jamais ça et ce n’est pas en me forcent à aller à l’université que ça va changer. Mon père ne semble pas comprendre que ma seule raison de vivre c’est la musique. Il aura beau cassé ma guitare je trouverai toujours un moyen de jouer car sans ça je ne suis plus moi. Si on me retire ma musique c’est comme si on me retirait mon âme. La musique c’est ma vie, une partie de moi qu’on ne pourra jamais retiré tout comme mes tatouages, ils sont ancrés en moi pour toujours. Prenez mon Ipod, j’irais jouer de la guitare, prenez ma guitare je trouverais un piano, prenez moi tout ça et je me mettrai à chanter, rien ne pourra me stopper, on me prend avec ou on me prend pas c’est tout. Sans ça je ne pourrais pas tenir, toutes les chansons, les 958 titres de mon ipod, mes 146 CD, mes 82 vinyle, ils ont tous une signification pour moi. J’aime me dire que mon Ipod contient la soundtrack de ma vie. Quand je me sens libre j’écoute smells like teen spirit, quand je me sens d’humeur joyeuse c’est beauty and a beat, quand je rage c’est beds are burning et quand je suis en train de déprimer this song save my life. J’en ai une toute spéciale quand je pense à Charline, c’est you suck at love de simple plan. Je suis le pire idiot de la terre. Bon je vais déjà tout expliquer. En fait cette fille c’est la jumelle de Jeff un pote à moi. Quand elle est dans la pièce c’est comme ci elle m’hypnotisait, je ne vois plus qu’elle. Elle est tellement belle faut dire. Il y a peu on a commencer à se voir mais en cachette, il ne fallait pas que jeff soit au courant après tout c’est un bon pote a moi et il sait comment je suis avec les filles. Du moins il le savait car il n’est plus de ce monde aujourd’hui. Je crois que Jeff est le gars que je respecte le plus sur cette terre, il a risqué sa vie pour une fille qu’il ne connaissait pas et il est mort en véritable héros. Je m’en veux d’être le pire des cons avec sa sœur. Si il avait su il m’aurait défendu de l’approché mais c’est plus fort que moi. J’ai souvent pensé à stoppé tout ça mais quand je me retrouve devant le visage de Charline je perd toute la force de le faire. Du coup quand il est mort j’ai essayé d’être là pour elle. J’ai vraiment les pires idées de la terre des fois. J’ai toujours clamé haut et fort a qui voulait l’entendre que je ne m’attacherai pas, que je suis paré contre tout ces sentiments et tout ça mais en m’impliquant de trop avec Charline j’ai commencé à ressentir des truc que je veux a tout prix évité et c’est pour quoi j’ai craqué. Quand je contrôle plus rien ça fais comme une bombe à retardement qui pourrait péter n’importe quand. J’ai éclaté et je me suis mal comporté avec elle, j’ai encore fais le gros connard avec elle mais au fond si je rejette toutes ses filles, ce n’est pas parce que je les vois comme des objet qui sont là pour satisfaire mes besoins non, c’est surtout car mon père à réussi a me convaincre que je ne vaut rien, que je ne suis pas un gars qui mérite qu’on l’aime… Les filles comme Charline je ne mérite pas qu’elle m’aime et je ne veux surtout pas m’attacher parce que je sais qu’elles finiront par trouver mieux qu’un crétin comme moi et à ce moment là elles me briseront le cœur en mille morceau.

Je sentit les douces lèvres de Charline se posé légèrement sur les miennes et j’ouvrit les yeux doucement. Je me réveillais lentement me remémorant la nuit dernière. Nous avions très bien dormi dans cette magnifique chambre d’hôtel d’ailleurs nous n’avions pas fais que ça mais je vais passer les détails croustillants. On avait juste fini par s’endormir tout les deux. J’avais encore les yeux à moitié fermer. En même temps je dors tout le temps comme un bébé et le réveil est toujours très long. Je souris tout de même a ma petite amie, car oui il faut noté qu’on a finis par ce mettre officiellement ensemble quand son père nous a griller dans la cuisine des Gilbert, conscient qu’elle au moins elle était réveiller. Je réussi a marmonner un bonjour potable quand même au bout de quelques seconde. Mais ça fais des année que l’expression avoir la tête dans le cul je la connais. Tous les matins c’est pareil. Charline me faisait face et je souris un peu avant de déposer mes lèvres sur les siennes encore une fois. Ensuite, je m’écarta un tout petit peu de son visage histoire de pouvoir sortir quelques mots. Et là… « Je t’aime » Et là c’est la douche froide. Mon sourire s’envole alors que mes paroles ce répète en boucle dans ma tête. J’avais quand même pas dit ça ? J’avais du mal à le croire mais pourtant ces mots étaient sortit tout seul de ma bouche clair et parfaitement compréhensible. Je sentit mon rythme cardiaque s’accéléré et j’en oubliais même de respiré. Ça ne devait pas trop se voir quoi que je ne souriais plus alors que d’habitude je le fais tout le temps. Le truc c’est que dans ma tête à ce moment la c’était la troisième guerre mondiale. Et le pire dans tout ça c’est que j’étais bien conscient que je le pensais vraiment. Les relations amoureuse ne sont pas non plus sont fort alors j’imaginais bien que pour tout les deux c’était assez nouveau comme situation. Après quoi ma réaction ne fut plus pareil du tout et ça avait eu le don d’énerver un peu chacha. Elle a fini par me laisser un ultimatum. Elle allait prendre une douche et j’avais le choix sois je commandais le petit déj pour nous deux sois je partait et ça voudrais tout dire. Machinalement je rassemblais méthodiquement toutes mes affaires avant de m’habiller. J’avais tellement l’habitude de faire ça maintenant que ça en devenais navrant. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire j’étais habillé et déjà à la porte les clés en mains. Je poussai un énorme soupir avant de passer la porte et d’avancer en direction de l’ascenseur. Arrivé en bas de l’hôtel je partit a toute allure vers la sortit. Bizarrement je ne partis pas en direction de la voiture. Pour le moment marché et prendre l’air était tout ce dont j’avais besoin. Après quelques minutes de marche j’avais finis par retourner à l’hôtel. J’avais pris le temps de réfléchir et pour le coup j’espérais juste que Charline y soit encore. Je tenais à la main un sachet a emporté du Starbucks. Je mettais rappeler en passant devant que Charline avait faim et j’avais donc pris des pancakes. J’avais bu mon café en route et comme quoi ça m’a remis les idées en place. Cette fois plus question de me défiler. Après tout maintenant que j’ai dis ‘Je t’aime’ je ne vois pas comment ça pourrait être pire. J’avais toujours redouté de dire ces mots pour une seule et bonne raison c’est que je ne voulais pas m’exposer. Montré a quiconque une manière de pouvoir m’atteindre car oui c’est maintenant la seul façon de me blesser. On pourrais bien me frapper, je ne suis plus à ça près avec mon père j’ai appris a surmonter la douleur. On pourrais m’insulter, me dire toutes sorte de chose je me fiche totalement du regard des gens. Mais maintenant que j’ai prononcé ces 7 lettres je sais que ce que je ressens est dévoilé et même si je ne pense pas qu’elle le fera Charline pourrait en deux seconde m’anéantir. Et le pire quand j’y pense c’est que j’ai peur pour rien. Je sais bien que Charline ne me fera rien et le seul encore a pouvoir me faire du mal c’est moi en agissant comme je le fais. Je pris une grande inspiration et me décida enfin à passer la porte. Je vis Charline se tourner vers moi surprise de me voir revenir. Je déposai les clés délicatement où je les avais prise.

J’étais vraiment dans un sale état, qui aurait pu le prévoir ce matin ? Sûrement personnes. La journée avait plutôt bien commencé pourtant, j’avais aménager tout une pièce pour la musique dans mon nouvel appartement et donc j’avais pris plaisir a ranger mes guitares une par une jouant un morceau sur chaque. J’avais fais tout ça très proprement. J’avais un canapé, des étagères pour ma collection de vinyle d’un coté et les CD de l’autre, mes différentes guitares et mes enceintes. Je mettais rendu compte en faisant ce rangement que j’avais oublier chez mes parents mon tourne disque. A l’heure qu’il était tout le monde devait être en cour ou au boulot. Je ne pouvais donc pas compter sur ma sœur, ni mon frère, ni même ma mère, heureusement mon père étant au boulot la vois était censé être libre. Je dis bien sensé car arriver là bas dans l’après midi j’était tombé sur le seul membre de ma famille que je voulais précisément pas voir : mon père. Je me souviens encore tout ce qu’il c’est passé, ce moment reste encré dans ma mémoire et ne veux plus en sortir. A peine j’avais passé la porte qu’il m’avait sauté dessus avec ses remarques. « Tiens voila le vilain petit canard » Je mettais retourner vers lui surpris mais je ne tardai pas à lui jeter un regard noir. Je lâchais un soupire avant de partir en direction de l’escalier dans l’espoir de monter jusqu'à mon ancienne chambre. « Animateur radio c’est ça que tu fais maintenant ? Aucune ambition, il y a des jours ou je me demande si tu es mon fils, un moins que rien comme toi n’a pas pu être engendré par ta mère et moi, je me demande parfois ce qu’on a fais pour mériter un gosse comme toi » C’était comme si il ce parlait à lui-même mais a voix haute précisément dans le but de me faire du mal. Bien sur ça ne fait jamais plaisir d’entendre ça mais je ne dis rien conscient qu’il cherchait juste ça. J’ai serré les dents continuant mon chemin, je pris ce que j’avais a prendre avant de redescendre. Il m’attendait pile en bas des escaliers. Son regard en disait long sur son état d’esprit. Je tentais une fois de passé, il me bloquait le chemin. J’avais sentit la colère monter en moi. « Va te faire foutre ok » Ni une ni deux ça réaction ne ce fit pas attendre. J’avais la joue en feu et ma tête s’était pencher sur le coté suite au choc. J’avais séré les dents tout en remontant ma tête vers lui d’un air digne. Hors de question que je me montre faible devant lui, pleuré a cause d’un coup qu’il m’a donné c’était bon quand j’avais cinq ans. Je sentais de fines goûtes de sang s’échapper de la zone de l’impact qui avait été plutôt violent. « Vas y défoule toi, défonce moi la gueule ! Des égratignures comme ça, ça plait aux filles » C’est pas si faux que ça. Quand j’avais quatorze/quinze ans tout le monde pensait que je me battais, j’étais le seul a savoir que c’étais complètement faux mais je ne l’ai jamais démentit pour la simple et bonne raison que ça aidait a entretenir mon image de bad boy et donc a draguer les filles. Quand je voulais séduire une fille je cassais un objet précieux de mon père et le lendemain j’avais un joli œil au beurre noir.
J’avais d’abords penser que mon air de défi l’avait dissuadé mais quand je suis sortit j’ai croisé ma mère sur le porche. Toujours a frapper ses gosses en douce quand ma mère n’est pas tout près mais elle est très bien consciente de ce qu’il fait. Elle ce tait simplement. Heureusement pour lui il n’a jamais été toucher October. Après toutes ces années il avait quand même un peu de dignité pour ne pas frapper sa fille. Qu’il me frappe moi encore ça peut passer, j’ai fini par me faire à l’idée que je le méritais. A la fin mes conneries étaient devenu un automatisme juste pour masquer celles de mes frères et puis je suis un incapable qui ne fait que des conneries il a raison. Ce qui me désole le plus c’est qu’il ne se cache même pas, pendant un instant j’ai bien cru qu’il arrêterait de nous frapper comme ça quand ma cousine est venu vivre chez nous mais non bien sur monsieur croit qu’il a tout les droit sur nous car son sang coule dans le notre. Il n’avait jamais été un père pour moi et j’ai appris à faire avec. Etant l’aîné de la famille je l’ai un peu remplacer dans son rôle. Tout ce qu’il était sensé m’apprendre comme un père j’ai du l’apprendre tout seul mais ça ne sais pas arrêté là. Il ne l’a pas fais avec Nolan et Blake non plus du coup je l’ai fais a sa place et avec October j’ai essayé mais ce n’ai pas pareil. Il fallait bien que quelqu’un compense son manque de responsabilité paternel après tout.

Je ne sais absolument pas pourquoi j’ai fais ça, l’emmener loin de la fête, j’ai l’esprit trop embrouiller pour comprendre vraiment mes geste. Ma conscience doit prendre le dessus et suivre mon instinct était la seul chose qui avait encore un peu de sens. Les éléments se bousculaient dans ma tête, rumeurs, départ pour L.A., télévision, Charline, mon père, vodka, Devyn… Je devais protéger Devyn à cause de rumeurs que j’avais entendu, je devais la sortir de cette fête pour ne pas qu’elle fasse de bêtises, voila ce que j’avais retenu de tout ça finalement. J’avais toujours été très protecteur a commencer par ma sœur, mes cousines (on ne touche pas a la famille), ensuite venait s’ajouter à la liste tous mes proches dont Devyn faisais partit. C’est peu être mon ex mais c’est surtout la première fille pour qui j’ai ressentit des trucs. Bon ce n’était pas comme avec Charline mais bon à l’époque c’était déjà un peu trop. Disons que ce que je ressens pour Charline c’est beaucoup plus intense que ce que j’ai pu ressentir pour n’importe qui au par avant, ça me consume, ça me déchire, ça me fais plus mal que n’importe quel coup, c’est plus douloureux que n’importe quelle blessure ouverte je sens que ça me détruit petit à petit. Elle me manque tellement… Quand je la voit à la télévision ça me tue littéralement. J’en peux plus de se sentiments, cette boule au ventre quand je la voit danser comme ça avec des gars aux quels je n’arriverai jamais à la cheville. Je suis bien conscient que je ne la mérite pas, je l’ai toujours su. Je suis un menteur pathologique, je suis née pour faire du mal à toutes les filles qui ont le malheur de me tomber sous les yeux (excepter une petite poigné de chanceuse qui ne craignent rien de ma, part), je suis irresponsable, totalement instable et incontrôlable par certain moment. Je lui ai fais du mal dans le passé et je sais que c’est dans ma nature de le refaire. Le seul domaine ou je suis fort c’est la drague. Bref, je ne suis pas un gars pour elle mais je l’aime. Personne ne pourra l’aimer autant que moi, le problème de ce genre de sentiment c’est que ça me rend fous de la voir à la télévision dans ses tenus de danse sexy avec ces gars beaucoup mieux que moi. Instinctivement je fini par m’arrêter avant que je ne comprenne que nous étions arriver. Mon regard était poser sur elle avant qu’elle ne se tourne a son tour vers moi, accompagner de son plus beau sourire. « Viens monte avec moi. » Je me mordillais doucement la lèvre inférieure. Quelques chose me retenait, je le sentais mal mais les conneries m’ont toujours attiré et la je sentais que s’en était une. Je n’avais toujours pas lâcher sa main et je n’en avais pas envie bien que je pourrais sûrement tenir debout seul a présent. Elle se rapprocha tranquillement de moi pour me prendre la photo d’elle petite des mains. J’aime allé voir les photos des gens petit quand je vais chez eux ça me fais rire. Dans l’état où j’étais en plus c’était obligé que je le fasse. Je la laissais faire, mon regard était posé sur elle avec attention, ses doigts effleurèrent les miens alors qu’elle prenait possession de l’objet. Sur le coup j’oubliais totalement ce qui m’empêchait d’aller l’embrasser quelques minutes plutôt. J’en ai trop envie maintenant mais je ne fis rien pourtant. « Tu serais jamais sortis avec moi à l'époque si j'avais cette tête. » Je la regardais reculer en riant. Tout en me pinçant doucement les lèvres je baissais légèrement le regard. « Détrompe toi, j’avais déjà de bon goût à l’époque et je t’aurais fais craqué a coup sur, même en primaire je savais faire ça… » Doucement je relevai doucement la tête m’appliquant a faire mon regard de chien battu. Je sais très bien que cette tête là en fait craqué plus d’une avec mon demi sourire et mon regard planté dans le sien. Je lâchais ensuite un petit rire. C’est en maternelle que j’ai eu mes ‘petites copines’ les plus sérieuse quand même faut le dire. L’enfance ou l’époque ou on veut être amoureux, on rentre de l’école en disant que cette fille c’est la femme de notre vie. Devyn était sur le point de monter les escaliers, elle s’arrêta pour me faire signe de la suivre. e m’avançais alors pour la suivre et monter les escaliers jusqu'à sa chambre. Je fermai la porte derrière nous. Une fois à l’intérieur je fini par cédé a la tentation. Je regretterai sûrement ce geste demain quand je me serais souvenu de ce qui m’a retenu plus tôt mais pour le moment je m’approchais doucement d’elle. Posant mes mains sur ses hanches mon regard ce planta instantanément dans le sien tandis que mon visage ce rapprochais de plus en plus dangereusement du sien. Nos lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres, je me stoppai soudainement avec un petit sourire aux lèvres.« Alors on fait quoi ? On joue au scrabble ? » Je restai comme ça sans plus bouger pendant quelques seconde, savourant le silence qui ce faisais intense à présent. Sans plus attendre je cédai à la tentation en m’emparant de ses lèvres fougueusement.

Tous les jours, je me réveille, le soleil filtrant par la fenêtre me réchauffe doucement la peau. Tous les jours, mes yeux s’ouvrent lentement et ce prépare à endurer une nouvelle journée. Tous les jours, je bois un café pour m’éclaircir les idées et tous les jours c’est son visage qui vient me hanter comme pour mieux me torturer. On est plus ensemble et ce pour une bonne raison, la distance. Ces foutus kilomètres qui tue toutes relation. Comment être a plusieurs kilomètre de celle qu’on aime sans pouvoir la toucher, la sentir contre sois, l’embrasser, s’imprégné de son odeur… sans avoir de doute. Malgré toute la confiance que je pouvais avoir en elle je n’ai jamais pu me résigner à me poser ces questions qui me consument de l’intérieur. Etre chez moi, tout seul, ma guitare entre les mains a me demander le quel de ces danseurs seraient en train de la draguer. Car eux contrairement a moi ils étaient là bas, à ses cotés. Je n’ai jamais voulu être ce gars jaloux qui flique sa copine. Déjà à la base je ne me pensait pas jaloux, je me foutait bien de se que devenaient mes ex. Une technique simple du je prend, je me fais plaisir, je jette et j’men fou après. Ca marche tellement bien cette technique que je l’ai pratiqué depuis que j’ai eue l’age de le faire. Le problème quand on baisse sa garde, même quelques secondes, c’est que ça suffit pour vous rendre dépendant d’une personne sur terre. Je ne crois pas les gars qui disent qu’ils peuvent être amoureux de deux personnes à la fois. Tu peux aimer plusieurs personnes mais tu ne peux être amoureux que d’une personne à la fois. Avec Charline j’ai baissé ma garde et voila ou j’en suis. J’ai encore pété un câble. Mon problème c’est que je suis instable, incapable d’assumer pleinement qui je suis. Il y a des facettes de moi que je ne connais pas, des facettes de ma personnalité qui m’effraye et au lieu d’en parler à Charline j’ai gardé ça pour moi pendant plusieurs moi et un soir j’ai craqué. J’ai fais la pire connerie de toute ma vie. C’est impossible de décrire comment je me sens après ça. MAIS QUEL CON !
Avec la distance c’est mêlé la jalousie, dieu sait combien je déteste ce sentiment pourtant mais c’était plus fort que moi… Ce mélange de manque, de distance, de jalousie c’est un très mauvais cocktail qu’il a fallut que je stop, je ne pouvais pas continué a faire semblant que tout allait bien. C’était en train de me tuer à petit feu. Alors j’y ai mis fin de la pire manière qu’il soit. Je ne sais pas ce qu’y m’a pousser a faire ça si c’est l’alcool ou bien ma jalousie ou encore le simple fais que je sois le pire idiot de tout les temps. Je l’ai trompé, j’étais complètement fais mais je n’ai pas d’excuse. J’ai juste envie de m’enfoncer la tête contre un mur là, je me sens tellement mal mais la faute à qui ? Je ne peux m’en prendre qu’a moi-même et c’est fou comme j’ai mal. C’est encore pire qu’avant. Avant j’étais jaloux mais j’avais confiance et je sais qu’elle ne ferais rien par contre maintenant elle est libre a cause de moi et ma connerie alors elle est libre de faire ce qu’elle veut avec tous ces gars de los angeles. Pour oublier toute cette histoire j’ai tout tenté mais rien a faire aucune de ces filles ne pourra la remplacer, aucune de ne pourra me faire oublier son visage, sa façon qu’elle a de prononcer mon nom, son regard qui me fais craquer, son corps qui me rend dingue, sa manière de me faire sourire, sa bonne humeur et toutes ses petites choses qui font que je suis amoureux d’elle. Car après toutes ces tentatives de l’oublier. Tout ces plan foireux pour réussir un jour a parlé d’elle et de mes sentiments au passé. Après tout ça je l’aime encore… Je l’aime, je l’aime, je l’aime ! Et chaque jours, chaque heures, chaque minutes ou je pense a elle devient une torture. J’imagine ces gars poser leurs mains sur les hanches parfaites de Charline, posé leurs lèvres là ou je devrais les poser car personne l’aimera jamais autant que moi, personne… Je l’aime plus que n’importe qui et ça me ronge littéralement de l’intérieur mais j’ai bien trop de fierté pour le lui dire. Alors je souffre en silence gardant tout ce que je ressens pour moi comme je l’ai toujours fais.

La voilà enfin, la partie la plus chiante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou d'anecdotes. Nous ne demandons pas de lignes minimum, mais faut aussi être logique. Alors, laissez aller votre imagination. La voilà enfin, la partie la plus chiante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou d'anecdotes. Nous ne demandons pas de lignes minimum, mais faut aussi être logique. Alors, laissez aller votre imagination. La voilà enfin, la partie la plus chiante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou d'anecdotes. Nous ne demandons pas de lignes minimum, mais faut aussi être logique. Alors, laissez aller votre imagination. La voilà enfin, la partie la plus chiante. C'est là que vous nous racontez l'histoire de votre personnage. À vous de choisir la manière dont vous souhaitez l'écrire, sous forme de texte, de journal ou d'anecdotes. Nous ne demandons pas de lignes minimum, mais faut aussi être logique. Alors, laissez aller votre imagination.