— dreaghan • just a kiss on your lips

Enfants, je rêvais un jour de trouver l'amour, le vrai. Celui qui fait battre ton coeur plus vite que la lumière. Je voulais vivre un amour comme celui de mes parents. À mes yeux, ils représentent ce qu'il y a de plus beau sur terre. Ils sont plus que des amoureux, ils sont meilleur amis et resortent ce qui a de meilleur dans l'autre. Cette amour, je le voulais, je voulais ressentir le même bonheur qu'eux. Et je l'avais finalement trouvé en Drew. Il était l'homme de ma vie. J'avais toujours eu de la difficulté à me voir en robe blanche, pourtant j'en avais une à la maison qui n'attendait que ce jour. Cette fois serait la bonne, je le savais, je le présentais. Il n'était pas question que j'oublie cette date. Je serais madame Jenkins, cette année et rien, n'y personne pourrait me l'empêcher. J'étais déterminé à passer ma vie à ses côtés. Il était celui qui arrivait à me faire sourire même lorsque cela n'allait pas. Il avait été des plus patient avec moi, et c'était le moment de lui prouver ma reconnaissance. Cette fois-çi, je m'avancerais dans l'allée retrouver Drew près du prête en costard, plus beau que jamais. Quand je pensais à cela, il était difficile d'imaginer plus belle journée. Celle-çi compris. Il glissa alors la bague à mon doigt. C'était une toute nouvelle bague, faut dire que j'avais égaré la première aussi et elle était encore plus magnifique que celle-ci. Un sourire fit son apparition sur mon visage. « Je t'aime, plus que n'importe qui pourrais aimer. » ajouta t-il à la fin. Pour passer ensuite sa main délicatement sur ma joue, venant m'embrassé sur les lèvres, un baiser qui se voulait magique. Un moment qui serait marquer à tout jamais dans ma mémoire. La fin de se baiser est suivi de mes bras qui l'entoure pour le serrer très fort. « Je t'aime Drew ! Il y a et il y aura toujours que toi. » À cet instant, mon coeur battait la charade, je pouvais d'ailleurs aussi sentir le sien contre mon corps. Ma réponse avait du le soulager d'un tout un stress. Je me recule légèrement de son emprise pour le regarder droit dans les yeux. « Je promets, cette fois, je ne te décevrais pas... » Cette journée, qui avait été le 23 octobre, cette confrontation, restait notre plus grosse chicane à vie. Je détestait me rappeler cette journée, mais dans cette situation, c'était difficile de ne pas le faire. Je voulais qui sache à quel point j'était désoler de l'avoir fait souffrir et que je n'avais pas l'intention de recommencer. J'étais prête à utiliser tout les moyens possible. Ma vie, mon amour, mon bonheur comme mes pleurs lui appartenait.