Par où commencer, ci ce n'est pas le commencement ? Je pourrais commencer par la fin, mais à quoi bon ? Ce ne serait pas logique, bien que je ne le sois pas vraiment. Mon père et ma mère biologique en roumanie étaient des gens pas trop aimé, ils empruntaient de l'argent mais ne rendais jamais à personne. Ils n'avaient jamais eux de problème jusqu'à ma naissance, les personnes à qui ils devaient de l'argent menaçais de me faire du mal alors que je venais de naître. Mes parents, si fuyard et non courageux on préférer prendre leur jambes à leur coup. Héberger par des amis de la famille en France. Pourtant les ennuis ne faisait que commencer, mon père tomba complétement le nez dans l'alcool et alors que je n'avais même pas deux ans, j'étais déjà un enfant fort battu. Les traitements que mon père me donnait était vraiment sadique. Il m'étais sur moi, le fait qu'ils avaient du quitté leur pays, ainsi que le fais que deux mois plus tard ma mère est partis, laissant entre les mains de mon père, moi petit garçon de bientôt 24 mois. Mais ma mère, en partant ne m'avais pas laissé sans protection. Car c'est la protection de l'enfance qui venu toquer un matin pour prendre des bras alcoolisés de mon père, ma vie.

Jusqu'à mes 4 ans, je vécu dans un petit orphelinat dans le but d'être adopté. Je ne m'en souviens pas vraiment, je ne parlais pas bien le français, je ne parlais pas bien du tout il faut dire. Je comprenais le roumain. Le français étais plus difficile. Pourtant une famille est venu, la femme, une belle femme au cheveux blond qui tombaient en cascade sur ses épaules ma sourit et j'ai tout de suite su que je voulais partir avec elle. Et c'était chose fait, seulement ils ne vivaient pas en France, ni même en Europe. Mais au USA. Bien sur à mon âge peut importait, mais j'allais devoir comprendre l'Anglais. C'est suite à ces problèmes de langues que je développa une sorte de dyslexie. Et puis j'ai débarqué à Bluebell, avec ma nouvelle famille.

Evidemment, étant trop jeune je ne me souviens pas de m'être fais adopté. J'ai toujours pensé que j'étais juste dans une de ces famille qui ne prenait pas vraiment de photo de leur enfant quand il était bébé. Sauf que tout le monde fais ça. Enfant, j'étais plutôt calme. Un petit peu plus métisse que les jeunes de mon quartier. J'aimais joué avec eux, mais pourtant j'étais souvent occupé à colorier dans un de mes nombreux cahier. À l'école, vers mes 9 ans mes parents on été convoqué dans mon collège. Tous de suite ils se sont demandé ce que j'avais fait. J'avais mordu un garçon qui m'avait embêter. La monitrice à demandé au parents pourquoi, c'est là qu'ils ont dis pour la première fois à quelqu'un que j'avais été adopté. La monitrice c'est alors empresser de préciser que j'avais un talent artistique, même si à 9 ans on en voyait pas grand chose.

Au lycée, j'étais un de ces jeune trop charmeur, le genre qui se trouve beau et qui sais qu'il l'est. J'étais bon à l'école, surtout en littérature faut dire. Mais j'étais du genre à ne rien dire, très calme. J'étais souvent assis dans l'herbe avec un bouquin. Jusqu'à mes 17 ans. C'est là que j'ai su ce que je voulais faire plus tard. Mes parents m'ont offert un appareil photo, je faisais toujours plein de photo avec le leur. Je voulais devenir photographe, voyager dans le monde entier pour prendre des monuments tous plus exceptionnels les un que les autres, je voulais devenir une personne connu dans tous ce qu'elle faisait. Faut dire, que dès que j'en ai eu l'occasion, j'ai postulé dans une université à New York pour devenir photographe. J'ai eu de la chance, j'ai été accepté. Mais très vite tout à déraper, car avant que je partes pour l'Université, j'ai découvert dans un tiroir en prenant quelques affaires les papier de l'adoption. Mon enfance à pris un autre sens. J'ai attendu mes parents sur la table de la cuisine, un bouquin de photo (j'avais plus de 4 ans sur les photos) un ours en peluche où ils n'ont jamais réussi à me dire d'où ils venaient, les papiers de l'adoption. « Qui suis-je ? » Ai-je demandé à mes parents. « Notre enfant. Tu est Jessy, tu le sera toujours. » Pourtant sur les papier mon prénom était Kylian. Ils m'ont expliqué toute mon histoire, mon père violent, la Roumanie ainsi même que l'orphelinat. Deux jours plus tard, ma mère adoptive ma raconté que l'ours en peluche avait toujours été mon doudou, que c'était une fille à l'orphelina, Zora, qui apparemment me l'avait offert.

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